Pourquoi ce nom ?

Les hautes herbes accueillent nos premières roulades, des courses effrénées pour s’y retrouver tapis comme un fauve. Elles ouvrent la porte d’un imaginaire et cela simplement en observant l’écosystème qui y est niché.

Les hautes herbes sont ma première expérience de nature, le lieu où ma relation à la nature a commencé et a pris sa forme. Elles sont ensuite devenues une place de choix pour y observer les couleurs du crépuscule, la forme des nuages ou y (re)faire le monde couchée sur le dos. L’odeur et la fraicheur de ce lieu me transporte instantanément “ailleurs”.

C’est ce lien, notre lien, à la fois simple et complexe avec la nature qui se cache derrière ce nom. Une apologie des hautes herbes pour se replonger dans l’une de nos toute première expérience de nature et retrouver le lieu où toute l’aventure a commencé.

Pour se tracer un chemin deux possibilités s'offrent à nous :

tailler dans les hautes herbes pour voir au loin ou...

s’y perdre quelque temps et profiter du présent (déf. 1 et 2).

Qui se cache dans ces hautes herbes ?

Une vadrouilleuse en montagne, admiratrice des nuages.

Je m’appelle Cynthia Magnin et je suis également une facilitatrice, une animatrice et une passionnée de sensibilisation environnementale.

Après avoir suivi des études en environnement à l’Université de Lausanne, j’ai travaillé dans la communication. Je souhaitais connaître ce secteur afin de comprendre et adopter d’autres regards sur la question environnementale.

En 2017, J’ai découvert les Conversations carbone (CC) en travaillant pour les Artisans de la transition & LaRevueDurable. Cette découverte s’est transformée en coup de cœur pour la méthode. L’intelligence collective et l’énergie qui émane de ces rencontres sont à la base d’un processus fascinant : la co-construction, pas à pas, d’un futur séduisant au naturel. En 2020, je suis devenue formatrice de facilitat·eur·rice·s pour la Suisse romande.

C’est aussi en 2020 que j’ai commencé mes activités comme indépendante en environnement.

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